Voici le tableau des jetons de lampisterie du musée du Diamant Noir. On y retrouve tout type de jetons. Les anciens jetons de la compagnie "Saar & Mosel", les anciens jetons de Marienau, Simon, St Fontaine et Wendel. Sans oublier des jetons d'APEVA, des jetons allemands, belges mais aussi des jetons éléctronique provenant du puits Vouters, de la cokerie de Carling et des ateliers centraux de st Charles.
Il faut savoir que les lampes de mineur électriques Oldham ne s'ouvraient pas avec des vis ordinaires mais avec des vis bien spéciaux. Pour cela il faux donc les outils adaptés. Ces trois clés permettent d'ouvrir au complet chaque lampe de mineur Oldham. La clé de gauche permet d'ouvrir les vis de forme triangulaire sur la tête de la lampe. La clé du centre permet d'ouvrir les vis avec deux trous qui fermaient la batterie de la lampe ainsi que certaines sur la tête de la lampe. Et la clé de droite permet de démonter le câble de la lampe au niveau de la tête.
Voici la reconstitution du lieu de travail du lampiste par le musée du Diamant Noir. C'est ici qu'il vérifiait l'état des lampes et les réparait si nécessaire. En dessous, on peut constater l'armoire à jetons de lampisterie. Chaque mineur possèdait un numéro ainsi que leur APEVA. C'est en le prenant avec que l'on pouvait voir si en cas d'accident, un mineur se trouvait encore au fond.
C'est le lampiste qui donne aux mineurs leur grisoumètre et appareil de mesures.
Le HALL et appareils de mesures